Un d'mes rares succès : savoir rater ma vie Rapper sans arrêt, ça m'permet de boire moins vite Ça me laisse peu d'répit, pas beaucoup d'repos papy Les docs papotent sur ma santé, j'me fous d'leur avis Coincé entre les belges et les québécoises Dans les moules-frites, j'mets une dose de tolérance Un point c'est tout, viens pas m'chercher des noises Quand tu prônes plein d'belles choses uniqu'ment en apparence Un homme de fond et d'forme, j'tiens d'mon grand-père Même si mes neurones fondent comme la Fourme d'Ambert « Bière-gnôle-Jack, qu'est-ce tu fais là à tiser ? On t'attend ! La fête va bientôt commencer » Mais nan, allez-y, moi je gerbe ici Les g'noux fauchés par Vinnie Jones et la peau jaunie Je veux rester dans l'ombre fin saoul pour de bon Vivre mes grosses bitures loin des obligations Monsanto c'est Satan, le pans'ment c'est Schubert Ouais checke ce refrain À quoi tu t'attends quand tu passes sur des bouts d'verre ? Espèce de crétin... Islamo-gauchistes et capitalo-chrétiens Tous capillotractés sous nos voûtes plantaires Tu dévisses trop tes frappes sur le terrain Travis et Jafac, frais comme un courant d'air À chacun sa came, quasi tous cramés. Schémas triviaux J'les caillasse avec des billets. Pas d'rivaux Laisse béton l'cahier, t'es pas une flèche comme Legolas Moi mon niveau terasse même Dupont d'Ligonnès Cause toujours tu m'intéresses quand je rêvasse Mon animosité s'anime entre chien et loup Pendant qu't'apportes ta pierre à l'édifice dans une crevasse J'offre une bière à ces dix fesses et j'deviens relou Ouais si t'es àl, ça sert à quoi d'être assis ? Joue pas l'homme idéal qui tourne à l'eau minérale Ma glande pinéale crache des trombes d'acide Les racistes trop brillants sont des néon-nazis À qui j'veux faire bouffer des pissenlits par la racine C'couplet c'est du poison, t'as la tête dans la bassine « Beuargh ! » Ça finit en queue d'poisson mais ma puissance assassine Monsanto c'est Satan, le pans'ment c'est Schubert Ouais checke ce refrain À quoi tu t'attends quand tu passes sur des bouts d'verre ? Espèce de crétin... Islamo-gauchistes et capitalo-chrétiens Tous capillotractés sous nos voûtes plantaires Tu dévisses trop tes frappes sur le terrain Travis et Jafac, frais comme un courant d'air

Depuis qu'on m'dit : « T'es laid ! », j'ai stoppé l'eau et le lait Je f'rais p't-êt' pas d'vieux os mais bizarrement ça plaît J'entends dire qu'ma place est dans un zoo C'est un palace, OK ! Y'a des perroquets à gogo Désormais, j'conduis p'us d'engin de mort J'pratique la marche et on dirait que j'fais du sport Pas d'crash au volant, pas envie d'me planter Paradoxal'ment l'eau-d'-vie entretient ma santé De plus au boulot, j'ai eu une promotion À l'écoute du client, on croirait qu'j'ai d'l'éducation Sans nul doute, j'ai vendu à profusion Mon boss consent sans problème à notre union Y m'a même offert une nuit d'noce avec la boisson Location en Corse : villa pourvue d'un haut plafond J'y suis allé et me suis dit : « Fallait oser ! » On m'a envoyé moi, sur l'Île de Beauté Je bois pa'c'que j'suis moche, j'suis moche pa'c'que je bois Je bois pa'c'que j'suis moche, j'suis moche pa'c'que La gnôle est fastoche à ach'ter. En plus, y'a du choix Ça cloche, c'est glauque. Aurais-tu une astuce pour moi ? Je bois pa'c'que j'suis moche, j'suis moche pa'c'que je bois Je bois pa'c'que j'suis moche, j'suis moche pa'c'que Le monde veut pas d'moi. On m'renvoie vers les autres Et tout compte fait, ça m'va ! J'garde la tête haute Imbibé d'potion, je me reconnecte au Net Cette addiction m'a donné des milliers d'abonnés honnêtes Ma passion génère-t-elle de la sincérité ? Réelle compassion ou méchanc'té dissimulée ? Ces questions m'importent peu. Le fait est Que ma propre sobriété nuit à notre société J'me jette un sky on the rocks pour fêter ça Quand j'en parle sur mon vlog, ça ne choque pas Donc j'nage dans l'bonheur, inspiré par la liqueur Tweetant pendant des heures et récoltant que des cœurs Merci aux gens qui m'font gagner autant d'argent Aux fans fervents sur Insta-deux-gram dans l'sang Mon appétit est excité par la réussite J'veux mitonner un plat plutôt gastronomique Besoin d'aide, je vais check un tuto sur Marmiton Mais j'accède qu'aux recettes de boudin et de thon Je bois pa'c'que j'suis moche, j'suis moche pa'c'que je bois Je bois pa'c'que j'suis moche, j'suis moche pa'c'que La gnôle est fastoche à ach'ter. En plus, y'a du choix Ça cloche, c'est glauque. Aurais-tu une astuce pour moi ? Je bois pa'c'que j'suis moche, j'suis moche pa'c'que je bois Je bois pa'c'que j'suis moche, j'suis moche pa'c'que Le monde veut pas d'moi. On m'renvoie vers les autres Et tout compte fait, ça m'va ! J'garde la tête haute C'est chic d'avoir d'la chance en quantité Quand j'me cuite à l'Uby, j'ai l'don d'ubiquité Persistant comme Frodon Sacquet, résistant comme un maquis Même si j'ai une préférence pour le sushi « Allez patron ! Mets-moi du saké et j'me taille ! Un alcool bien bon ; à la coule, j'te dis : "Kanpai !" » Tout m'sourit... Voilà seul'ment trois mois que j'bois Plus rien n'est pourri mis à part mon foie Donc une ultime fois, j'me fous malade et j'arrête Je jouerai plus jamais la sérénade des cannettes Pas d'Bloody Mary ce soir, j'cuisine mon avocat Lui réclame son avis ; y m'sert des salades à la noix J'devrais m'fier à ses conseils de bon aloi Mais j'fais la sourde oreille et m'envoie quelques lampées Gros dégâts d'emblée... trou noir amorcé À mon réveil, j'comprends que j'suis tombé dans l'coma Puis aperçois une belle femme pot'lée tel un bouledogue Nez à nez avec elle, j'entame le dialogue L'amour d'ma vie a d'l'humour sous ses ch'veux verts J'ai pris une caisse hier pour couler des jours heureux Avec une infirmière Je peux rien y faire Mon destin n'est p'us un mystère Et j'en suis fier ! Ouais, j'en suis fier Avec une infirmière Je peux rien y faire Mon destin n'est p'us un mystère Et j'en suis fier

Si t'as souffert de pas avoir su faire Ce son va suffire à t'satisfaire On est ceux qui savent s'taire car ceux qui déblatèrent Sont ceux qui rendent l'atmosphère grave et délétère Si t'as souffert de pas avoir su faire Ce son va suffire à t'satisfaire Notre bave est un saphir quand on s'en sert Même si ça foire, les gens braves réitèrent Eh merde alors ! à l'argent également Ce son est consacré aux souterrains, pas seul'ment aux Pays-Bas Restons hauts, ne chutons plus, shootons le PIB Un peu d'pain, un peu d'vin, j'partage ma faim en vain Afin de mettre fin au règne des pommes parfaites Qui germent dans divers produits... quelles sont les recettes ? « Indignez-vous ! » autant qu'Hessel Pas assez d'temps à perdre pour vos quenelles S'il vous plaît, donnez-moi de l'eau-de-vie lors de ma mise en bière Et j'm'obstinerai à être encore ivre mort Ainsi qu'à rouler sans permis sous une pluie d'Angleterre Puis m'abstiendrai d'écrire qu'importe l'av'nir De notre sphère... guère de soucis à me faire Oh là là, basta les holocaustes ! Kalachfuckoff Za vashe zdorovie ! Salute ! Prost ! Hip-hop Low Cost Si t'as souffert de pas avoir su faire Ce son va suffire à t'satisfaire On est ceux qui savent s'taire car ceux qui déblatèrent Sont ceux qui rendent l'atmosphère grave et délétère Si t'as souffert de pas avoir su faire Ce son va suffire à t'satisfaire Notre bave est un saphir quand on s'en sert Même si ça foire, les gens braves réitèrent Pas d'secret dans ma crypte, je sécrète sur le gratin Nique Socrate car je sais qu'je n'suis rien J'aim'rais qu'tous ceux qui s'y croient se croûtent Et qu'personne n'écoute les hypocrites qui racontent des tonnes de craques Ou j'finis esseulé sur le sol sale sans soleil Soulignant ces syllabes ; dédicace à mon salaud En somme, on vise ni la cime, ni l'sommeil Saoulé par la vie, besoin d'eau comme une salamandre Peu importe, ce flow te met à l'amende coco Tu rétorques en sirotant ton thé à la menthe trop chaud En conséquence, ma tactique je l'exécute Quand t'entends ma zique et son éthique, tu dis : « Zut ! » Et là l'ravin m'ravit. J'vois rien, j'varie Les voisins m'radient. Pas radin, pas de radis Si j'm'élance, c'est pas radieux en studio J'mets mes vieux os en silence radio Si t'as souffert de pas avoir su faire Ce son va suffire à t'satisfaire On est ceux qui savent s'taire car ceux qui déblatèrent Sont ceux qui rendent l'atmosphère grave et délétère Si t'as souffert de pas avoir su faire Ce son va suffire à t'satisfaire Notre bave est un saphir quand on s'en sert Même si ça foire, les gens braves réitèrent

Voici l'gadjo, souvent à droite dans la vago Qui s'contente de pâtes à la bolo sans gros lot Depuis l'adolescence, j'roule ma bosse en bossant dur Un gosse plutôt cool, à la bonne posture J'donne de ma personne au mieux, endosse les ratures J't'assure que j'rapp'rai ça quand je s'rai vieux et mature Au moment où j'rédige ce couplet miteux J'ai 24 piges, quasi 9 d'XP dans l'milieu Toujours imberbe, j'y vois aucun problème Tu peux t'montrer acerbe, selon moi, l'ironie est reine Et l'autodérision diplomate, je précise le mental Y'a autant d'trous dans mes sapes que dans l'emmental Tu connais le bail comme Nathalie, ma caille Que les cobayes s'taillent à Dubaï, j'leur dis : « Bye bye ! » J'ai la dalle, c'est pas rare, j'ai la dalle et j'radote Mon délire transpire le Perceval et Karadoc Je me poile en pissant sur les gendarmes Pas la police mec, c'est des insectes dont j'parle Parole de tsar du rock'n roll Qui se marre devant la horde hardcore de trolls Je fous la trouille à la Mort en maniant une corde molle Comme à Poudlard, j'me débrouille avec des sorts d'école Et dans l'brouillard, j'me téléporte à Porquerolles Tu bafouilles sale crevard, recrache tes Krisprolls Trop gentil ouais, j'assume sans simuler Mais si tu m'fâches que tu sois nanti ou fauché J'assène des coups d'plume pour t'assommer Après quoi j'm'automutile pour m'faire pardonner En fumant du vieux persil sans songer à l'av'nir Dieu merci, j'suis assez futé pour en rire Nan j'déconne, j'consomme l'olivette conforme C'est d'la balle comme dans Olive et Tom Bref, j'en crame pas par tonne afin d'garder un orteil sur le sol Et contrecarrer les plans de ceux qui visent le pactole Certains s'isolent car la bouteille de picole endort On divise pour mieux régner sur l'oseille. Alors Si t'as la gueule de bois tel un Ent, n'aie pas honte Et affronte la désolation, c'est comme ça qu'on remonte Faut penser par soi-même, accepter lorsqu'on s'est trompé Savoir changer d'positions si elles sont trop engagées Moi, j'aurai ni tatouage, ni piercing. J'en suis libre Aucun souci avec ça, chacun sa manière d'vivre Les vêt'ments reflètent l'appartenance à une culture Seras-tu fier d'être à nu pendant ta sépulture ? Un roseau qui plie mais ne rompt pas malgré les dégâts Ma prose est investie mais n'interrompt pas tes gars J'médite sous la Lune, cigarette fumante au coin du bec En débitant des vérités problématiques avec le soin d'être Autonome comme la République KaZantip, même à sec J'demande pas l'aumône et je traque les pique-assiettes Ceux qui font mine d'apporter avant d'repartir vite repus Au lieu d'répartir les gains remportés sans reporter Putain ! C'est magique, si tu tombes accroc à mes phases Combo clair-obscur : combat contre Akroma et Phage As-tu la chance d'avoir conscience d'être un pantin ? Mes idées tapent dans tous les sens : calcio florentin Ouais Balafre Léguée...

Voici l'histoire de Nath, à 4h du mat' En after, dans l'appart' d'un d'ses purs potes Posé sur le canap', amoché par la tise Accompagné d'une biche hot aux yeux qui disent : « Oh vas-y, baise-moi... oui vas-y, baise-moi Oh vas-y, baise-moi... mais vas-y, baise-moi Oh vas-y, baise-moi... Oh vas-y, baise-moi... oui vas-y, baise-moi » Face à son choix, rongé par l'hésitation Il songe encore à renoncer à la tentation Seuls dans ce salon, le plongeon est imminent Mais le locataire en colère bondit en gueulant : « Mais qu'est-ce qui s'passe là ?! Mais qu'est-ce tu fous là ?! Et puis c'est qui ça ?! Et puis t'es qui toi ?! Ah j'ai compris, j'crois, me réponds même pas Pas d'souci mon gars, O.K. vas-y baise-la ! » « Oh vas-y, baise-la ! oui vas-y, baise-la ! Oh vas-y, baise-la ! mais vas-y, baise-la ! Oh vas-y, baise-la ! Oh vas-y, baise-la ! oui vas-y, baise-la ! » Dès lors, son ami retourne dans sa chambre Et lui se r'trouve pif à pif avec la prétendante Peu farouche, cette blonde, enlève son crop top La fougue monte, quand soudain, ça toque à la porte « C'est l'voisin, bordel ! Putain, ouvrez-moi ! » Aussitôt dit, aussitôt Nath arrive à grands pas « Eh jeune débile, c'est pas bientôt fini ?! » Apercevant la belle, subit'ment, il s'écrie : « Oh vas-y, baise-la ! oui vas-y, baise-la ! Oh vas-y, baise-la ! mais vas-y, baise-la ! Oh vas-y, baise-la ! Oh vas-y, baise-la ! oui vas-y, baise-la ! » Il le remercie, puis revient à ses moutons Même si son appétit n'est pas vraiment glouton Allez, ça commence, plus rien ne les retient C'est elle qui mène la danse, Manix à la main On entend dans l'avenue, un bruit d'sirène Et notre bougre dénudé sourit à la reine Oh doux Jésus ! elle se frotte avec ardeur La police fait son entrée pour reprendre en chœur : « Oh vas-y, baise-la ! oui vas-y, baise-la ! Oh vas-y, baise-la ! mais vas-y, baise-la ! Oh vas-y, baise-la ! Oh vas-y, baise-la ! oui vas-y, baise-la ! » « Ça y est, j'en ai ma claque ! Vous m'cassez les couilles ! » « Oh c'est bon Nathou, faut pas avoir la trouille... » En montrant son long doigt à ces cons d'keufs Il repart content de pas tromper sa meuf « Bah ouais, j'me casse à ma casa Merde, où sont mes clefs ? J'les trouve pas Mes chers poulets, j'la vois v'nir vot' magouille J'préfère rentrer à pieds qu'avec la caisse de patrouille Et nan, j'la bais'rai pas Et nan nan nan, j'la bais'rai pas Et nan, j'la bais'rai pas Et nan nan nan, j'la bais'rai pas... »

Quand on veut devenir méd'cin à plein temps Faut savoir avant tout être patient Doit-on épauler les passants qui pagaient ? Doit-on épiler les chatteux, déjà trop aidés ? La passion du jeu d'mots possède, en voilà la preuve C'est mon dopage, mon aubaine et le son m'abreuve J'ai pas mal de passe-temps mais pas l'esprit volage Si t'approuves, j'te cède ma potion au passage Remède qui permet de vivre à sa vitesse De convertir la paresse en sagesse Au sein d'ma caverne, j'concocte du vinaigre Loin des pieuvres mimétiques qui singent la pègre C'est mon petit hommage que j'apporte au chômage Dans c'pays où y'a plus de mille sortes de fromage Et ça s'rait dommage que tous te révulsent Pour ma part, la majorité, j'la déguste Home Sweet Chômage Quelques mois d'labeur, tout est question d'dosage Home Sweet Chômage La bonne vieille torpeur, dis donc, tu connais l'adage Home Sweet Chômage Se caler dans l'canapé plutôt qu'sous l'orage Clonage de cônes lèg' Décollage vers la canopée La vie fait pas d'cadeau, certains se sentent paumés Moi, elle me rend accro et j'me fais pas d'bile Puisque même la gastro a ses bons côtés J'ai d'plus en plus d'abdos à chaque fois que j'dégobille Voir le verre à moitié vide, c'est déjà pas mal C'est mieux que d'pas en avoir et d'être au bout du goulot Voir le verre à moitié plein nécessite du travail Ceux qui s'lèvent le soir partagent mon goût du boulot Et y'a rien de honteux, Madame, Monsieur Pas comme cette fameuse rencontre en 82 Ouais, je jure que mes chansons voient l'jour Vu qu'leur écriture est souvent nocturne Sous une pluie d'réflexions, j'reste un type taciturne Assis sur mon tapis mou, j'oublie l'hideux bitume Et j'ai très peu d'conditions tant qu'y'a pas d'contentieux Ma seule ambition, c'est d'pas être ambitieux Home Sweet Chômage Quelques mois d'labeur, tout est question d'dosage Home Sweet Chômage La bonne vieille torpeur, dis donc, tu connais l'adage Home Sweet Chômage Se caler dans l'canapé plutôt qu'sous l'orage Gommage des dommages Décollage jusqu'à Cassiopée On prend pas assez l'temps de s'cultiver De chasser les tensions, de s'presser son jus vitaminé La décadence s'accélère qu'on soit nomade ou sédentaire La guérison passe-t-elle par l'accès à l'air ? Oui, disons que j'suis futé comme le bison car je gère La livraison de bonnes ondes à ta maison Y'a pas qu'pendant les pendaisons d'crémaillère Que j'apporte des syllabes en salade de saison Mais d'ordinaire, j'pense que l'silence est d'or En prenant garde aux maladies pécuniaires Alors, tu peux garder tes barbituriques mortifères Moi, j'préfère m'endormir devant Rick et Morty, frère Et j'veux ni casser ta muraille, ni l'escalader Juste admirer l'architecture, mon âme sœur à mes côtés Assis en tailleur... doigts d'pied en éventail Tant pis si on perd la guerre sans aucune bataille Travis et Jafac t'es pas d'taille Si on passe à l'attaque, c'est fatal Home Sweet Chômage, Hip-hop Low Cost Sans rancune ma caille